La question que nous nous sommes tous posée un jour ! Mais pourquoi nous la posons-nous ? ceci ne revient-il pas à dire que nous sommes insatisfait de notre vie ? « L’homme est un animal insatisfait », alors comment le satisfaire ? Est-ce impossible ?
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L’ambition. L’ambition, c’est ce qui fait avancer l’Homme. Sans ambition, sans vouloir toujours plus, on n’aurait pas vraiment de progrès. Je pense que l’insatisfaction permet à l’Homme de trouver des moyens plus ou moins ingénieux d’aller de l’avant, pour résoudre son insatisfaction. Lorsqu’il a comblé son insatisfaction, nul doute qu’il trouvera autre chose pour se plaindre.
Si nous étions totalement satisfaits de ce que nous avions, ça serait dommage, quelque part. On n’aurait pas à lutter, pas à progresser, on se plairait dans la médiocrité, j’imagine. L’Homme est fait pour évoluer, toujours et en permanence, c’est ce qui le distingue des animaux, qui eux ne se plaignent pas. Ils n’ont pas le pouvoir de l’imagination, le pouvoir qui te fait dire : « et si… ». C’est ce « et si… » qui nous stimule.
L’Homme est un animal pensant – mais c’est surtout un animal rêvant. Nous aimons tous rêver, imaginer; « le singe qui raconte », disait un auteur pour nous décrire. Je crois que c’est cette tendance à rêver des mondes nouveaux qui nous incite à chercher à les rendre réels.
Sommes-nous insatisfaits ? Pas vraiment, pour l’essentiel – mais il y a toujours cette petite voix qui vient, à un moment où à un autre, nous dire: « peut-être que si… ça serait encore mieux ».
Je dirais donc que ce n’est pas parce que nous ne sommes pas satisfaits, mais simplement parce que nous pensons toujours qu’autre-chose peut encore mieux nous satisfaire :).
Pour refaire le monde de façon visible et brutalement, il faut faire une révolution. Une révolution par la voie d’une découverte (l’énergie atomique par exemple), ou la révolution sociale (communisme).
Ce qui est sûr, c’est qu’on ne refait pas le monde véritablement de façon méthodique et pensée, désormais. Auparavant, on inventait quelque chose de révolutionnaire, et le monde s’adaptait.
Personne ne pouvait vraiment prédire les conséquences de telle ou telle invention, de telle ou telle avancée sociale. L’avènement de l’ampoule électrique, par exemple, qui aurait prédit qu’elle aurait changé notre société autant en profondeur? Surtout à l’époque.
Je pense que c’est la somme de nos petits intérêts qui actuellement referont le monde. Il y aura de moins en moins de révolutions, tout ne sera plus que transition. Regardons la plus grande avancée technologique de notre temps, Internet : qui peut véritablement parler de révolution? Elle s’installe progressivement, tout doucement, mais change durablement et à jamais nos vies. On est devenus dépendants à wikipedia sans que l’on s’en rende compte.
Donc, nous refaisons le monde, non pas en ayant véritablement conscience de cela, mais juste parce qu’on adopte une attitude qui, on l’espère, améliorera notre vie au quotidien. Pour faire une révolution, avec tout les risques que cela comporte, il aurait vraiment fallu que le jeu en vaille la chandelle, ce qui ne semble plus être le cas dans nos pays occidentaux actuels.
Vous pensez que vous changez le monde quand vous prenez un abonnement à l’ADSL, vous?
On ne se satisfaisait pas du 56k qui ne nous permettait plus de voir les nouveaux sites, on est donc passés à de l’ADSL. La création de besoin chez les personnes, c’est effectivement ce qui fait avancer la terre. Ce besoin est perçu comme étant une insatisfaction actuelle de notre état. Si on est satisfaits, on a pas de besoin. Il existe également certains besoins qui s’ignorent : si vous découvrez un besoin qui s’ignore, et que vous réussissez à le combler, vous être en train de refaire la face du monde. Qui aurait cru il y a 20 ans que le mobile devienne un objet indispensable? Les gens n’en avaient pas besoin, à l’époque.
Pour refaire le monde je m’intéresse à « l’abélisme » ( voir Google)
Mais ça ne décolle pas.
Chacun s’accorde à penser que notre société est à bout de souffle, mais personne ne propose réellement de solutions à hauteur des problèmes identifiés. Or, nous avons une obligation de résultat si nous souhaitons voir l’humanité perdurer.
« Une utopie réalisable » est une simple ébauche de ce qui nous semble pouvoir et devoir être entrepris après inventaire et mise en forme.
Certaines propositions originales choqueront sans doute le lecteur. Au lieu de réagir négativement, nous souhaitons que celui-ci avance et enrichisse le débat avec ses propres idées.
Où sommes-nous ?
Nous évoluons sur une planète privilégiée perdue dans un univers hostile, fait de roches, de gaz de particules, et soumis à des températures extrêmes. Cet univers a-t-il été conçu ou non par un dieu « créateur » ? Personne ne peut apporter à ce sujet de réponse pertinente. Le problème religieux doit donc se cantonner au niveau de la conscience individuelle et non, collective.
La vie a envahi la terre ; trois règnes s’y côtoient : l’animal, le végétal et le minéral.
Mais au cours de ces deux derniers siècles, un animal : l’homme, a pris le contrôle de l’ensemble or, visiblement la situation lui échappe et il ne sait comment gérer cette planète dont il s’est arrogé la propriété.
Nos problèmes :
Une trop rapide augmentation de la population, multipliée par sept en deux siècles, appelait de profondes transformations sociales, mentales, économiques environnementales et d’infrastructures sans communes mesures avec les moyens disponibles et les politiques suivies durant la même période.
En même temps que le nombre de bras augmente les besoins en main d’œuvre diminuent, du fait de la mécanisation, de la robotisation et de la course à la productivité.
Une fraction non négligeable de la population, ne dispose pas de moyens d’existence décents, tandis qu’une infime minorité accumule des richesses de façon démesurée.
L’homme, excelle dans les sciences et la production, mais il est totalement dépassé aux plans : politique, économique et même philosophique.
L’environnement se dégrade, les ressources s’épuisent.
Arrêtons là le constat, et donnons-nous comme objectif d’imaginer un type de société ou l’humanité toute entière trouve sa cohésion et gère « en bon père de famille », l’ensemble de la planète.
Que souhaitons-t-on nous ?
Comme nous le constaterons ci-dessous, c’est une utopie techniquement réalisable, mais mentalement impossible, car nous avons des difficultés à abandonner nos repères habituels et à nous projeter dans le moyen ou long terme.
Quatre questions essentielles pour le devenir de l’humanité:
-Population : combien d’hommes et avec quel niveau de vie, la planète peut-elle admettre sans mettre en cause les équilibres naturels ?
-Moyens d’existence : comment permettre à chaque individu de se nourrir, d’être protégé soigné, éduqué tout au long de sa vie ?
-Sécurité : comment assurer la sécurité collective et individuelle ?
-Environnement : comment laisser à nos successeurs une planète non épuisée ou dégradée ?
Que pouvons-nous ?
Voici les réponses envisageables au plan « technique »:
Gouvernance mondiale
Confier à un gouvernement mondial, émanant d’une ONU complètement redéfinie, les grandes orientations qui s’imposent désormais à l’humanité.
Ce gouvernement disposerait de trois atouts majeurs : d’une banque mondiale, d’une monnaie unique et d’une armée mondiale, constituée de l’ensemble des armées nationales; soustraites à l’autorité des gouvernements nationaux. Il serait le garant des
– droits de l’humanité (à définir)
– droits de l’homme
– et du « droit au travail pour tous ».
Les notions de pays et de nations ne seraient nullement remises en cause.
Par contre les régimes seraient obligatoirement des démocraties.
(Prévoir une organisation mondiale sans dérive possible vers la dictature)
Population
Nous savons calculer la population globale admissible en fonction des ressources planétaires et du niveau de vie.
Par exemple actuellement 1,2 milliard environ, d’habitants peuvent vivre comme un américain moyen, ou 33 milliards comme dans les pays les plus pauvres.
Nous sommes 7,5 milliards d’hommes sur terre et ce chiffre s’accroît environ d’un milliard tous les douze ans. Une politique contraignante de limitation des naissances permettrait de réguler ce « paramètre » en posant comme donnée fondamentale qu’il est préférable d’éviter une naissance que de tuer un être humain par la sélection naturelle, la misère ou la guerre. Il pourrait même être envisagé de revenir à une population mondiale de l’ordre de 4 milliards dans deux ou trois siècles.
Limiter les naissances : on sait faire !
Moyens d’existence
Je vais essayer de préciser ma pensée de façon caricaturale, car je ne suis pas un spécialiste et le domaine est trop vaste.
Ce que chacun peut constater c’est qu’une activité permet de dégager de la richesse, mais implique salaires, investissements, frais de fonctionnement dividendes et impôts, au sens large du terme. On se rend compte que nos états modernes sont de plus en plus impliqués en matière de fonction publique, d’infrastructures et de réduction des inégalités.
Tout le monde réclame de plus en plus de moyens. Or ces moyens proviennent soit de l’impôt soit de la dette.
Quel que soit le cas de figure, l’écart entre objectifs souhaitables et moyens disponibles ne peut que s’accroître. Celui qui prétendrait le contraire dans le système actuel se trompe ou nous trompe.
Il faut donc trouver autre chose: sorte de synthèse entre communisme et capitalisme.
Le développement des techniques et plus particulièrement de la robotisation laisse de plus en plus de monde en dehors du circuit traditionnel du travail. Parallèlement une quantité énorme de taches utiles, ne sont pas accomplies, car elles apparaissent contre-productives.
Or, dans le droit de l’humanité doit figurer un droit au travail pour tous, permettant d’accomplir ces tâches.
La solution consiste à concevoir une société à trois vitesses et un financement adapté :
1/ On garde le schéma actuel du capitalisme, mais on supprime l’impôt, inégalitaire, impopulaire et cher à récupérer. (Voir solution ci-dessous.)
2/ On réorganise la fonction publique en tenant compte de son financement par la banque mondiale. (Voir solution ci-dessous)
3/ On crée un circuit social, chargé de procurer impérativement un emploi à tous ceux qui n’ont pu s’intégrer ou se maintenir dans les deux précédents circuits économiques.
Les tâches susceptibles d’être réalisées dans ce troisième circuit sont innombrables, en voici quelques exemples : surveillance et soins aux personnes âgées, aux enfants, aux infirmes, amélioration du cadre de vie et de l’environnement dans un quartier, une ville, un pays, entretien des forêts, reboisement, formation des adultes, lutte contre la désertification, soutien scolaire etc., etc…….
Des critères de rentabilité doivent être pris en compte dans ce troisième secteur afin que tout salaire versé corresponde à un travail effectif, utile et de qualité. Les négligences sont sanctionnées par une mise à pied temporaire et sans salaire. Tout travail procurant un pouvoir d’achat, le secteur concurrentiel s’en trouve dynamisé. Concrètement: les salaires sont plus attractifs dans les deux premiers circuits que dans le troisième. Chacun trouve néanmoins, un emploi correspondant à ses mérites et motivations et peut passer d’un secteur à l’autre.
Financement de la fonction publique et du secteur non concurrentiel
Dans notre système économique actuel, le financement de ces deux secteurs est assuré par des prélèvements (de plus en plus importants, mais toujours insuffisants), effectués sur le résultat du travail des « actifs ».
Il faut donc commencer par créer des richesses afin de pouvoir prélever et redistribuer.
Or le nombre d’actifs tend à diminuer et les besoins augmentent sans cesse, d’où un système obsolète.
Comment changer notre système économique ?
Au lieu de créer des richesses pour en redistribuer, il conviendrait d’inverser le processus, en commençant par la distribution.
Concrètement :
Chaque état établit un projet de budget couvrant : la fonction publique, le droit au travail pour tous, les investissements, les retraites.
Ce budget doit être cohérent avec les objectifs poursuivis à l’échelon mondial, il devra tenir compte d’une nécessaire période de transition et d’ajustement. Il sera examiné et approuvé au niveau du gouvernement mondial.
Chaque état se verra alors attribué un « droit de tirage » sur la banque mondiale, seule habilitée à créer de la monnaie.
Le budget sera exécuté en toute transparence par chacun des pays avec contrôle à postériori au niveau mondial.
L’habileté des dirigeants résidera dans la préparation et l’exécution intelligente du budget.
On pose comme objectif économique mondial, que dans le délai raisonnable d’un siècle, tous les états disposeront s’ils le souhaitent de moyens d’existence équivalents, en s’efforçant de niveler plutôt vers le haut que vers le bas. Le gouvernement mondial a la maîtrise de la monnaie unique. Celle-ci ne peut donc s’apprécier ou, se déprécier par rapport à aucune autre. Il convient seulement de conserver un équilibre entre le montant global de la monnaie émise et le volume total des biens et services proposés. Cela est rendu possible grâce à un circuit court de la monnaie. On ne thésaurise plus, puis que l’on est garanti de percevoir des revenus tout au long de son existence grâce au droit au travail et à la retraite. La discrimination par l’argent disparaît. Seul, le train de vie distingue les plus productifs et les plus créatifs. On peut envisager qu’une grille des rémunérations impose qu’aucun homme ne puisse percevoir un salaire ou revenu supérieur, par exemple, à 50 ou 100 fois le salaire minimum. La motivation reste cependant suffisante pour que le génie humain continue de s’affirmer.
Le montant des retraites est indexé sur le salaire moyen perçu au cours de la vie active. Les handicapés perçoivent le salaire minimum s’ils ne peuvent travailler.
Une consommation normale s’effectue tout au long de l’année, consommation à laquelle doit s’adapter et répondre le secteur concurrentiel.
Il conviendra de prévoir un système de régulation pour « éponger » l’excèdent de monnaie qui aurait pu être émis par rapport aux biens et services disponibles et éviter la reconstitution de très grosses fortunes ainsi qu’une inflation mondiale.
Ce n’est pas une mince affaire que de tenter de planifier et modéliser tout cela tant aux échelons nationaux qu’au niveau mondial. C’est donc un véritable défi à relever
conjointement par les informaticiens, les économistes new-look et les industriels.
Il semble difficile d’affirmer la possibilité ou l’impossibilité d’entamer une telle démarche au niveau mondial. Par contre la faisabilité pourrait être vérifiée en chargeant l’ONU de cette tâche puis de mettre en place dans un délai raisonnable, un tel système dans une Ile « laboratoire » réputée pauvre, telle que Haïti et la République Dominicaine sa voisine mieux développée.
Du travail et des moyens d’existence pour tous : on peut faire !
Sécurité
-Sécurité collective
Il faut absolument retirer à tous les chefs d’état le droit et la possibilité de faire la guerre. À cet effet toutes les armées sont placées sous l’autorité du gouvernement mondial. Chaque état fournit et entretient le contingent qui lui est assigné, mais celui-ci est cantonné, 50% sur le territoire national, 50% à l’étranger, afin d’échapper à toute tentative d’utilisation de l’armée nationale par les gouvernements locaux. Chaque état doit donc héberger sur son territoire en contrepartie une quantité équivalente de militaires étrangers.
L’armée mondiale intervient à l’initiative du gouvernement mondial pour régler toute velléité de conflit.
-Sécurité individuelle
Police et gendarmerie disposent également des moyens militaires pour leur action de prévention ou de répression. Les prisons sont réduites n’ayant pas prouvé leur efficacité. Toutefois, la société doit se protéger efficacement contre tous ceux qui l’agressent.
Les peines prévues par le code pénal doivent être totalement révisées. Diverses approches sont envisageables.
Assurer la sécurité individuelle et collective : on sait faire !
Environnement
Actuellement, la protection de l’environnement grève les prix de production, on fait donc semblant de prendre en compte ce problème, mais en réalité, il est largement marginalisé. Les océans se vident de leur faune, les puits de pétrole s’épuisent, les nappes phréatiques se dessèchent, les forêts disparaissent, la planète se réchauffe etc.
Le droit au travail et la monnaie unique permettent de traiter cette question au fond, et d’inverser la tendance à la dégradation. De très grands travaux peuvent être entrepris tels que reconstitution des forêts tropicales, arrêt de la désertification, reconquête progressive des déserts, recyclage systématique des matières premières, dépollution des sites, amélioration des paysages urbains, recherche d’énergies nouvelles: fusion nucléaire, batteries non polluantes pour stocker l’électricité des voitures, etc…
Protéger l’environnement : on sait faire !
Utopie ou non ?
A priori, tout ceci procède du rêve et ne peut être suivi d’effet car les mentalités ne sont pas prêtes aux nécessaires adaptations.
« Pouvoir » n’est pas « vouloir » !
On ne sait pas :
-Dégager un consensus
-Prévoir et organiser à moyen et long terme
-Changer d’échelles de valeurs
Avant de renoncer il serait bon, sous l’autorité de l’ONU, que chacune de ces suggestions soit soumise respectivement à des groupes de philosophes, de scientifiques, d’économistes, et de politiques d’horizons différents, en leur demandant :
-D’en faire une critique comparative et constructive par rapport à la situation actuelle
-De vérifier leur cohérence et leur faisabilité
En cas d’adhésion significative à ces principes, il leur appartiendrait également d’échafauder un calendrier sur une quarantaine d’années pour la préparation et la mise en œuvre toujours sous l’égide de l’ONU.
Mais là encore nous sommes en pleine utopie, car l’ONU ne peut être mandatée que par des gouvernements et aucun gouvernement ne cautionnera, une future amputation de ses prérogatives sur les deux pôles du pouvoir que sont l’armée et la monnaie.
Si une action doit se dessiner, pacifiquement elle ne peut démarrer que de la base, organisée en associations : locales, nationales, internationales. Il est certain qu’un foisonnement d’idées pourrait en sortir via Internet, prouvant que d’autres choix sont possibles essentiels et urgents.
Lorsque les médias s’empareront à leur tour du sujet, les responsables politiques aiguillonnés par leur base seront enfin contraints de s’occuper des vrais problèmes de l’humanité.
Michel Odinot
PS :Sans interdire les religions, ce qui serait contre-productif, il conviendrait de les contraindre cependant, à se mettre en conformité avec les droits de l’humanité et les droits de l’homme .
Une émanation de ces différents droits devrait émerger sous forme d’un « civisme » orienté vers l’homme et l’humanité, et, enseigné de façon analogue dès le plus jeune âge dans le monde entier sur le thème : « tous différents, mais tous les mêmes»
je pense sincèrement que l’humain n’a pas encore la maturité il est donc inapte, pour obtenir l’autorisation la responsabilité de la planète a détruire sans cesse ce qu’ils touche ou et quand s’arrêtera t’il je pense qu’il encore un enfant pour jouer avec ces jouer et puis les casser pour en obtenir d’autres a la place, alors que peut on ajouter a cela que tout ca finira mal est ce inexorable et sans espoir, que faut il pour qu’ils prennent conscience?! faudra-t’il ca fin pour que la planète puisse survivre ……..